Yannick Nézet-Séguin redonne vie à la musique évocatrice et subtile de la compositrice française Rita Strohl et accueille Jean-Guihen Queyras, soliste acclamé sur la scène internationale.
Découvrir une partition oubliée majeure a quelque chose d’absolument magique. Lorsque ses notes résonnent, suspense et émerveillement s’allient pour donner le sentiment qu’on assiste à un moment historique, au dévoilement d’un trésor. De sa baguette, Yannick Nézet-Séguin redonne vie à la musique évocatrice et subtile de la compositrice française Rita Strohl, dont la Symphonie de la forêt a récemment été redécouverte.
Le chef nous présente d’abord une œuvre courte mais poignante de son compositeur préféré, l’Ouverture tragique de Brahms, puis accueille un ami de longue date de l’OM et soliste acclamé sur la scène internationale, Jean-Guihen Queyras. Ensemble, ils se lancent à la conquête de l’Everest du violoncelle, l’un des concertos les plus vertigineux écrits pour cet instrument, celui de Dvořák.