Tristan et Isolde, colossal poème d’amour, chant d’érotisme et de mort enraciné dans la légende médiévale, et dont le langage allait révolutionner ni plus ni moins que le genre lyrique lui-même.
La présentation de l’opéra Aida, en clôture de la saison dernière, est restée gravée dans toutes les mémoires. Yannick Nézet-Séguin et le Métropolitain remettent cela cette année, entourés d’une distribution des meilleurs chanteurs wagnériens de notre époque, pour ce que plusieurs considèrent comme « l’opéra des opéras ».