Dans un monde où il devient de plus en plus difficile de s’autoriser l’émerveillement, cette correspondance entre Anaïs Barbeau-Lavalette et Steve Gagnon plonge dans une quête de la joie.
La joie choisie, réfléchie, travaillée. La joie comme une posture face aux injustices. La joie subversive, en socle à la colère, à la solitude, à la tristesse.
Avec autant d’humour que de tendresse, les deux voix retracent ensemble le chemin fragile de la joie comme permission, comme désobéissance, comme moteur de résistance.